/ PRÉAMBULE

Sans qu’aucun matin (2021), dans la continuité du projet Tout est vrai (2018), se poursuit en 2024 à travers l’application web REBECCA.

/ SUJET

Sans qu’aucun matin (un roman et un film) reprend le récit là où Tout est vrai l’avait laissé : Simon, jeune adulte, vient d’achever ses études. Devenu développeur web et design, il consacre désormais tout son temps, son énergie au développement de son application qui permettra d’anticiper voire de déjouer la perte des êtres chers par une idée très simple : toute relation nouvelle doit être pensée finie, alors marquée d’une date à laquelle elle devra s’achever. Parce que « ce qui est éphémère est toujours plus précieux », pense-t-il. Un projet qu’il souhaite éprouver dans sa vie, auprès de ses nouveaux amis, Mircea et Rivière, et qu’il a ainsi nommé : Sans qu’aucun matin jamais ne soit la garantie du soir à venir.

Mais son père et surtout le destin le convainquent finalement de l’inapplicabilité de son projet, qui s’oppose à la vie. « Non, Simon. Quand les gens que tu aimes s’en vont, c’est le destin qui t’a séparé d’eux. C’est le destin, tu m’entends. Ce n’est pas toi. Ce n’est pas eux. Ce n’est pas une date que vous auriez fait planer au-dessus de vos têtes. »

Convaincu par son père, il retourne sur les traces de sa mère où il imagine les contours d’un nouveau projet qu’il nomme en son hommage REBECCA.

5 extraits du film

CREDITS

Sans qu’aucun matin, film de Romain Kronenberg, avec Pablo Cobo, Brendan Hains, Barthélémy Pollien, Audrey Bonnet, Mathieu Genet, Valentine Cadic (en cours de production)